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Deux pour la rime

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22 août 2011

al

Qu'al lise, au pays du vermeille palisse,

un songe allège le poids des soucis

recit bercé par une mélodie en sous sol

l'acre fumée de ma prose s'envole

 s'dévoile un rap d'esthète poli

un estuaire des tempes aux sphynctères

a l'instar d'un tempo facteur

ma vue navigue vers un cimetière

amas de pierres au port

bateau fantome et solitaire

y'a plus de maite a bord

ma vie un chantier bombé d'obus

un chemin semé d'embuches

le sablier s'offusque que le temps abuse

mon ras le bol ce hara

sa bile folle un marais

ou errent les marins qui narraient

les odeur de petrole du sahara

sa poussiere decolle sous les fers

 etalons fiers, au galop detalant

sans galon au crin

immobiles calos et billes immoles

que ce soleil de plomb etreint

 

 

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22 août 2011

a propos de mes ecrits

Bonjour a tous, une petite note de l'auteur pour vous dire que la plupart de mes textes m'ayant été volés par une espèce de folle et ses compères ,sans doute jaloux, ils ne figureront pas ici a mon grand regret et au votre aussi je l'espère.  ces textes étaient parmis  les plus poétiques, beaucoup aussi de textes contestataires, esperons que le meilleur est a venir car après tout depuis que j'ecris je n'ai jamais imaginé en faire profiter le monde un jour , merci de votre attention .

22 août 2011

texte coupé car volé a retravailler donc

Soudain la lune se dressa dans le ciel fièrement, on entendit un cri strident au loin déchirer le silence d’une nuit sans trêve. S’offrant en pâture aux êtres de l’obscure royaume, les derniers rayons de l astre solaire s’enlisèrent dans le gouffre de l’horizon. Je compris que l’indifférence d un être peut gâcher la vie d’ un autre lorsqu’il eut tout a fait disparu. Abondante lumière, reflets de feu sur les plumes des oiseaux, cette boule incandescente lasse, était descendu tout a fait dans les limbes quand mes yeux se posèrent sur l’étoile du matin.

Je contemplais sa docilité fragile, Icare en robe de diamant me souriait paisiblement, m’enveloppait de sa douce attention, je la mêlais malgré moi a un sentiment amer et hostile de saturation. L’électricité orageuse du vent s’engouffrait dans mes narines , faisait éclater mes poumons , impression vague de soirée alambiquée, passée sous le briquet d’une sorcière de contes de fées.

J’allais revenir sur mes pas lorsqu’un son inhabituel fit porté mon regard en direction de la falaise, produisant comme un malaise dans l’atmosphere. Le ressac dont les goutelettes humidifiaient la brise lui fit echo .

22 août 2011

chanson pour juliette ou personne

Tu veux un "salut gros!"

Mais tu pèse pas plus lourd que la plume d'un sale escroc

J'croque dans ton beurre salé

Ma salive j'crache car j'crains

Que ton crachin meurt sous mes sales scratches

Comme une peau de chagrin

A chaque sketche t'as mal aux mains

Tellement tu manies mal la mélodie du malin

Ta maladie man s'appelle ma langue

Qui t'harangue et te lime meme en mode limace

Lis moi à la masse et j'aligne ton posse

Le place dans un impossible palais

Et tu palis comme un fossile de l'age de glace

Est ce ma faute si y'a pas d place pour les imbeciles

Qu'aux fesses d'un mal poli qui tient pas en place

Et qu'on police

Ta pierre est polie et pendant que pierre et paul roulent leur pilon

Je la percute et enflamme tes bas de nilon

Par mes uppercut te laisse a poil dans le lit

Ta tete colle a mon cul comme un colloc qui veut pas decoller

D'puis qu'tes colères m'ont foutu d'frénétiques coliques

J'vis en décalé

J'ai mis des autocollants sur ta tête de schmidt

et j 'kik en volant l'affiche de c'concert de violons

Toi tu pilles par peur du vide

Petite fille ton œuvre est aussi libre qu'une coquille sans esprit

Mais tu espère qu'elle cristallise , même sous chrysalide

T'as du oublié d'valider

Le jour ou t'es tombé sur mon cahier

T'as du cailler dans ton bolide

Comme à la vue d'un beau livre

T'as du beger du lait caillé

Comme quand tu suçait le sein d'ta mère

22 août 2011

departlent

Départ  lent, vivisection,

Sanglots sanglants, affection, supplice de cent ans

Le sel etrangle la solitude innocente

Les Salauds sadiques scellent les yeux  a la naissance

On abdiquent  silencieux  sous c’ ciel de salves prétentieuses

Impudiquement  impliqués , au piquet  sanglé

L’amas des corps sussite la soif d esprits feroces

 

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22 août 2011

trip

Je t'étrippe et t'effrite

Tes trippes je frappes

Pris de panique tu flippes

Ma porte tu forces

Tes fripes sentent le foutre

Et le flic dans ton froc

A fondu sous la frousse

Tel un salsifi

Tes fossettes sont fausse

Vas y fais volte face

Ou je fist double face

Si tu vises le spectacle

Le vison sur l'épaule

Tu vas gouter l'obstacle

De ma vision d 'étoile

Je me lache sur ta face

Et tu me leche les fesses

Et juste pour un fixe

T m'envoie un fax

T fini dans la fosse

Suintant dans la melasse

Salut tu m'a lassé

6 mai 2011

faycal

 

 

 

 

 

 

 

 

30 avril 2011

Milles et une baffes dans les milles et une fesses des employes d'hls

 http://www.youtube.com/watch?v=wFcws7WPPGQ

Milles et une baffes dans les milles et une fesses des employés d'hls

 

 

Milles et une baffes dans les milles et une fesses des employés d'hls

 

Pad d’place pour ces bouches pendues au pis de la vache , des cerveaux le pire des lavages

 des zombies accrochés à leur attaché-case en période d’esclavage 

Croyant dur comme fer  que  boire du lait les rendra fort ces laches

Préférent défier la nature , se linchant  pour de l’air pur, se roulant dans la moisissure

du veau d’or  Comme des porcs  dans la boue fraiche

 Facile de fléchir et a force de boire sans réfléchir

iront flecher du cote du cimetiere frere

 

 J passe mon temps a rabacher leurs mefaits ,

 Tente encore de casser les schemas  des chemins balisés ,

dénicher ces business de salauds d’industriels ou actent les commercials des labo, pour les aligner,

 ces tortionnaires en cravates sales ne pretent pas attention aux salves , salissent leur vestons

laisse des vestiges en guise de potion

voici l’ temps du reveil filston , arretons  d’bouffer c’ decors en carton ,

action sans encartement

 lors des arrestations des membres  de nos factions  tendu debordement

La tise , les medoc, leur mythe et leur betise ma hantise, car ces gars debloquent et mentent

Depuis déjà plus de mille piges  parlent de crise economique sans se soucier des genocides, des manques,

se demarquent avec leurs marques , leurs sottises, Leur  bizz  pue la mouise , la loose, la morve tellement

que c’est l’ delbor qui parle et repart encore plus fort qu’avant

 guy debord a babor  qu’on finissent tous a l’hopital

Al bator a trop d’ barres suffoquant  s’irrite et s’étale

tue son fils d’une dose de vice letal puis s’erige au sommet

 La vie  importe peu , laisse moi oter les chaines de notre comas banal

Le règne animal et sa beauté minimal illumine, résiste entre tourment et  tracas car

La nature qu’on ne sait voir pleure à la mine, et perdure l’ennui des visages palis par l’eau sale,  

Versées sur ces quelques lignes  de perles perdues sur le sol

Détalent a toute allure car pleuvent encore  les lames tombant des pluies de larmes des pendus

Impuissant ravalant ses poèmes,  petits poucet  sème des miettes de pain dur

Sur des restes de sépultures bohêmes balayées a l’aube reine d’un printemps de verdure  

Sur terre notre aura tu traine et les autres hôtes raturent leurs étrennes

Etranglent nos peintures comme le chagrin ma peine

Pourquoi est ce la mort à l’œuvre dans tant de cultures ?

L’inconnu  gène mon entêtement, sais tu, je suis,

  petit devant les statues mais pas sot, sais aussi que la science tue et pas seulement les puceaux,

pas  perdus entendus de la bouche des cadavres qui ne font pas étalage des vivicitudes de vos parties de vivisection

saucés, les meme que tu ne veux pas voir la nuit dans tes cauchemards sessions,

T’ont soufflé le privilège de la camarde en c’bas monde de l’accession au pouvoir

T’as pas la gueule du coach man alors marre  que tu les couche au mitard toutes les trentes secondes

t’as rmis trop tard le son pour ceux  qui marchent a l’ombre

tires en les lessons quand sors du cromi bavard la seve suave immondemment  seine,

 innondé de  sah : qui saignent

 t as cru qu on tenait pas debout l’ami,  et puis qu on t’ nait pas le bout de la mine entre les doigts!

Mc si Signe Al de sa lance chromé ,sans visé l’trone, juste  delirer au cromi couleur chrome

 

Pour dégommer ce labo de paumés Sans faire d’ compromis

29 avril 2011

kmac

 

http://www.youtube.com/watch?v=3uPz5SkFaIc

 

 

 

Mange pas au domac, tu veux pas finir dans l’coma

stopp la console , tes amis sont pas des manettes

des technocrates  vont t’la mettre et tu vas bouffer des pattes

arretes le pmu c’est  tous des corrompus qui s’ permettent  

sans tact ils attaques, te tacles ,obstacles, aux stat te matte

tu nages dans la colle et chient sur du carton patte

travaille comme un automate mais toujours ils te la mette

regarde l’ ciel, Ici parle pas de  pair d’ailes, aucun père noël

pour ceux pour qui le gel perdure

 et vu du dessus d’un nid de coucou

 il feront tout  pour te couper les ieucou

bref, faire de toi un mec jaloux pour que tu les adules,

donc , réagit en adulte, carotte, ne bois que d’la flotte,

potable, tu le sais ici  le son n’est pas filmable

 

 

Telle une partie de scrabble

Avec une table et des scratches pleins ta face

Une réelle prise d’otage qui rpeint l’paysage sans tache

Et s’ entête tout ca  pour les pays sages, et qu’tout l’pays sache que

 les artisans encule les comptables et les connétables

comptent  allumer toute la salle car

 du bois le loup sors et ce soir s’ met a table

pas de lyre la c’est la cythare

si tarba  mes si arrêtent des hetres , et puis j’ai envie d’etre

 Si tard mon posse verse des versets seulement

 quand l’ monde est a l’envers

 

 Alors c’est pire que vinci  sur un tableau de maitre

et pour etre honnete,

Je suis pas né dans une etable

Entre le bœuf et l’ane gris

Mais sur un lit d hopital et ca laisse des cicatrices

mon  nombril

dix fois plus gros que l’est  une balle de tennis

donc remballe ton micro penis  

mon mic c’est la  pointe de l’obelisque

 pour tes fesses un veritable feu d’artifice!

ici que d’la tentation aucune tante a sion

fachee la faucheuse a fait fit de fion!

la confiance saigne dans c’ monde en perdition

t’es perdu si on t’exclue

perdu ,si  on t’inclus dans l’ protocole

ton lot colle a des hautes decisions

t comme en manque de potion

 

 

marque une pause , je me deplace  en pole position

pour ceux dont la vie n’est qu’ illusion d’roses

je ne serai jamais de ceux qui feront tourner l industrie du disque

pour gonfler leur ego surdimensionné d’artiste

j ai pris l’chemin du terrorisme et du rap cagoulé

ma pensée au service du vice

je tue tous ceux qui ne valent pas mieux

 que la merde de ce tas d’ purain  que je viens d’chier despi

biensur pour représenter les innocents sacrifiés sur l’hotel du profit

devine a qui profite ce crime , en plein dans le mile , les worlds companies

chouf leur  bizz qu’ils banalisent et s’entourent de kisdés,

 comme s’ils étaient sur une terre promise delaquelle ils ne veulent plus décoller.

28 avril 2011

sisi

si t'as toujours pas compris que j ai le bide et le mord

le beat et l'comor

c 'est hardocre quand j ecris

alors s il te plait l ami

remballe tes mythes et tes stores

tes biff et tes scores

lors que tu traines ici

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