http://www.youtube.com/watch?v=wFcws7WPPGQ
Milles et une baffes dans les milles et une fesses des employés d'hls
Milles et une baffes dans les milles et une fesses des employés d'hls
Pad d’place pour ces bouches pendues au pis de la vache , des cerveaux le pire des lavages
des zombies accrochés à leur attaché-case en période d’esclavage
Croyant dur comme fer que boire du lait les rendra fort ces laches
Préférent défier la nature , se linchant pour de l’air pur, se roulant dans la moisissure
du veau d’or Comme des porcs dans la boue fraiche
Facile de fléchir et a force de boire sans réfléchir
iront flecher du cote du cimetiere frere
J passe mon temps a rabacher leurs mefaits ,
Tente encore de casser les schemas des chemins balisés ,
dénicher ces business de salauds d’industriels ou actent les commercials des labo, pour les aligner,
ces tortionnaires en cravates sales ne pretent pas attention aux salves , salissent leur vestons
laisse des vestiges en guise de potion
voici l’ temps du reveil filston , arretons d’bouffer c’ decors en carton ,
action sans encartement
lors des arrestations des membres de nos factions tendu debordement
La tise , les medoc, leur mythe et leur betise ma hantise, car ces gars debloquent et mentent
Depuis déjà plus de mille piges parlent de crise economique sans se soucier des genocides, des manques,
se demarquent avec leurs marques , leurs sottises, Leur bizz pue la mouise , la loose, la morve tellement
que c’est l’ delbor qui parle et repart encore plus fort qu’avant
guy debord a babor qu’on finissent tous a l’hopital
Al bator a trop d’ barres suffoquant s’irrite et s’étale
tue son fils d’une dose de vice letal puis s’erige au sommet
La vie importe peu , laisse moi oter les chaines de notre comas banal
Le règne animal et sa beauté minimal illumine, résiste entre tourment et tracas car
La nature qu’on ne sait voir pleure à la mine, et perdure l’ennui des visages palis par l’eau sale,
Versées sur ces quelques lignes de perles perdues sur le sol
Détalent a toute allure car pleuvent encore les lames tombant des pluies de larmes des pendus
Impuissant ravalant ses poèmes, petits poucet sème des miettes de pain dur
Sur des restes de sépultures bohêmes balayées a l’aube reine d’un printemps de verdure
Sur terre notre aura tu traine et les autres hôtes raturent leurs étrennes
Etranglent nos peintures comme le chagrin ma peine
Pourquoi est ce la mort à l’œuvre dans tant de cultures ?
L’inconnu gène mon entêtement, sais tu, je suis,
petit devant les statues mais pas sot, sais aussi que la science tue et pas seulement les puceaux,
pas perdus entendus de la bouche des cadavres qui ne font pas étalage des vivicitudes de vos parties de vivisection
saucés, les meme que tu ne veux pas voir la nuit dans tes cauchemards sessions,
T’ont soufflé le privilège de la camarde en c’bas monde de l’accession au pouvoir
T’as pas la gueule du coach man alors marre que tu les couche au mitard toutes les trentes secondes
t’as rmis trop tard le son pour ceux qui marchent a l’ombre
tires en les lessons quand sors du cromi bavard la seve suave immondemment seine,
innondé de sah : qui saignent
t as cru qu on tenait pas debout l’ami, et puis qu on t’ nait pas le bout de la mine entre les doigts!
Mc si Signe Al de sa lance chromé ,sans visé l’trone, juste delirer au cromi couleur chrome
Pour dégommer ce labo de paumés Sans faire d’ compromis